Bonne adresse à TOULOUSE :  » le temps des tartines « 

Je ne passe que rarement dans la rue des Lois à Toulouse. Grossière erreur car c’est là que se niche une petite « tartinerie »-restaurant qui mérite de pousser la porte. (en plus de la papeterie artisanale La Mucca, mais ça on en parlera dans un prochain article !)

C’est armés d’une faim de zombie dans The Walking Dead que nous avons commencé par trouver la vitrine à notre goût avec ses petites ardoises et son intérieur qui semblait cosy.
En plus depuis le road trip 2015 en Italie, j’adooooore les tartines ! Il n’en fallait pas davantage pour entrer !

Alors nous voilà attablés à une toute petite table ronde en bord de rue. Et nous avons tout le loisir d’admirer la déco simple et chinée avec goût pour donner un look campagnard feutré. Moi qui adore les lieux intimistes, je suis ravie.

Miel (de violette) sur la tartine, les propriétaires, mère et fille, sont des personnes extraordinairement souriantes et avenantes. A l’image de l’endroit, elles viennent discuter sans s’imposer, toujours avec la banane, de choses et d’autres. Si vous aimez parler gastronomie et oenologie, vous serez servis ! Les voyages, surtout en Italie, fonctionnent plutôt pas mal aussi !

Et dans l’assiette alors ? Oh, ça va avec tout le reste !
La présentation est au top dans un plat tout mignon en forme de coeur avec d’un côté une bonne soupe de légumes moulinés et de l’autre deux énormes tartines au chèvre avec du miel de violette (on est toulousain ou on ne l’est pas ! J’aime autant que le miel de lavande testé en Provence, au passage). Flo de son côté a testé la salade avec deux tartines de jambon de pays avec poivrons rouges.
Tout ça pour 9 € et des poussières par personne et l’on n’avait même plus faim pour les desserts maison (gâteaux, glaces…) !

Bien sûr, comme dans tout restaurant, tu trouveras également d’autres plats plus traditionnels que les tartines. Mais comme nous étions un peu pressés, la formule tartine associée à un service rapide et efficace nous a parfaitement convenu.

Crédit photo « Le temps des tartines »

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