En 2016, je répondais déjà en grande partie à cette question de la localisation du street-art à Toulouse grâce à mon article sur le festival Rose Béton. Il est toujours d’actualité et les fresques gigantesques sont difficilement ratables (ou alors je t’engage à faire RAPIDEMENT un contrôle optique !)
En 1 an, j’ai eu le temps de faire quelques autres balades ou juste de me renseigner pour en dénicher d’autres. Il existe des lieux légaux ou tout du moins autorisés qui sont des valeurs sûres, et puis il y a les autres, plus sauvages et donc éphémères. Mais finalement, cet aspect temporaire est valable pour tous : le street-art n’est pas fait pour être pérenne. Ne t’étonne donc pas de découvrir en ces lieux des œuvres différentes de celles de mes photos si tu décides d’y faire un saut ! On recouvre, on repeint, on innove, c’est l’jeu ma pauv’ Lucette !
La rue Gramat dans le quartier Arnaud Bernard
Je te l’avoue, ce n’est pas le quartier de Toulouse dans lequel je préfère m’aventurer du fait des zonards relous, et encore moins en jupe, provoc’ ultime, mais en journée autour de la place des Tiercerettes, c’est plutôt tranquille et plutôt mignon ! Ça tombe bien parce que c’est par là qu’on commence !
La rue Gramat, c’est un incontournable de la localisation du street-art à Toulouse. Forcément, c’est le berceau de l’art urbain toulousain dans les années 80 avec des graffeurs comme Mosquito.
Tout est un peu brouillon, iconoclaste, voire même carrément bordélique. On aime ou on déteste, pas de demi-mesure. Arnaud Bernard, est un réservoir, « expressoir » d’idées fourmillantes entre tags et graffitis, où l’on se couvre, on partage, on se recouvre et où le ton monte peut-être un peu. On se prend à regarder les détails le temps d’un sourire et d’une traversée.
Le jardin d’Embarthe dans le quartier Arnaud Bernard
Il fait partie de ces coins qu’on a découverts par hasard ! On passait dans la rue quand, en tournant la tête, on a aperçu un tunnel menant à une sorte de jardin d’Eden caché. Forcément, on est allé voir !
Avant, il s’agissait d’un parking. Il a été réhabilité pour canaliser l’énergie des graffeurs du crew Arnaud Bernard System (ABS) en leur fournissant un mur à peindre.
Le jardin en lui-même est très calme et arboré, une vraie petite bulle d’oxygène contenant un city-stade, des tables de ping-pong, des structures pour enfants et quelques bancs.
La rue Cazeneuve entre les quartiers Minimes et Bonnefoy
Les wagons du musée des Anciens Ambulants dans la rue Cazeneuve
Lors d’une sortie avec les Instagramers toulousains, nous avons découvert un autre lieu intéressant : le Musée des Anciens Ambulants de Toulouse, à la station Raynal. Tu y trouveras un certain nombre de wagons graffés sur le thème des moyens de transport et de la Poste.
Le mur de la rue Cazeneuve
Juste à côté de ce musée dont j’ignorais l’existence et dont je te parle très vite car on vient de le visiter, un long mur propose aussi un bon nombre de graffitis dans la rue Cazeneuve. Si j’ai bien compris, c’est l’endroit où Fastoche a réalisé en 1987, les deux premiers graffs qui marqueront les mémoires toulousaines.
Point coolture : On retrouvait souvent le long des voies ferrés des « chromes » car ils couvrent bien et pour pas cher. Il suffisait pour cela aux artistes de se fournir en quantité dans les carrosseries ! Malins comme des petits singes !
Les artistes de cette rue sont internationaux : napolitains, toulousains, espagnols, colombiens, etc.
L’espace Cobalt dans le quartier Montaudran
On l’appelle aussi le 50cinq mais c’est un abus de langage car le 50cinq est en réalité le nom d’une association. C’est un espace dédié aux événements professionnels qui comprend aussi une partie privée avec des ateliers de professionnels dont celui du graffeur Tilt ! Que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur, les murs sont recouverts de graffitis. Plus ou moins grands, ils n’en sont pas moins énoooormes dans mes petits yeux de non graffeuse !
J’ai pu le découvrir dans le cadre de l’Open Summer Festival à la mi-juin, le plus grand festival graffiti international à Toulouse (une trentaine d’artistes participent) organisé par le 50cinq.
Après avoir accueilli le festival Mister Freeze (fesitval street-art) pendant plusieurs années consécutives, tu peux toujours découvrir ce lieu durant l’été puisque la guinguette urbaine Le Canaille Club y a élu domicile depuis 2 ans (2020 et 2021). Et on avouera que jouer aux boules au milieu des graffitis, c’est quand même la grande classe sudiste ! ^^
L’université Paul Sabatier
L’université Paul Sabatier compte plusieurs fresques de graffitis et plusieurs sont issues des deux sessions du Festival Rose Béton. Mais il y a un bâtiment qui est totalement indépendant et qui se distingue par ses murs tous colorés : le CAP (centre d’activités polyculturel).
Les œuvres datent de 2017, pour les 20 ans du CAP, et ont été réalisées par 3 artistes graffeurs bien connus des Toulousains amateurs de street-art : Rezo, Maye et Mondé. Ils ont mis 4 jours pour venir à bout de cette fresque monumentale. Ce que l’on imagine sans peine quand on voit la finesse des détails et la difficulté de collaborer pour que le style et le talent de chacun s’adapte à ceux du partenaire voisin.
Le thème de cette fresque est « la musique et les sciences » afin de s’accorder avec le rôle du bâtiment qui est un lieu reconnu d’expérimentation culturelle dans le milieu étudiant.
Les squats d’artistes, lieux discrets du street-art à Toulouse
Mix’art Myrys
MISE A JOUR NOVEMBRE 2021 : ce lieu a dû fermer ses portes suite à un gros bras de fer où la Mairie de Toulouse a gagné…
Lors de la dernière soirée Clutch en mai 2017, j’ai amené mes bottines dans un ancien hangar tenu par un collectif d’artistes auto-gérés : l’association Mix’art Myrys dans le quartier des Minimes. Le lieu m’a beaucoup fait penser à la NDSM, la cité des arts d’Amsterdam. On y trouve des petits ateliers d’artistes et la déco est très underground. Un ravissement pour ceux qui apprécient ce style ! Bon, détestant Alice au pays des merveilles, je n’ai pas trop apprécié d’y retrouver le lapin blanc mais, bonne joueuse, je reconnais la qualité graphique de la représentation ! S’il est possible apparemment d’y aller spontanément, pour être plus à l’aise, tu peux toujours attendre un des événements y ayant lieu…
Le collectif Villa Sainte Lucie
MISE A JOUR NOVEMBRE 2021 : ce lieu a fermé ses portes mais le collectif se déplace régulièrement là où il peut poser ses bombes. Les suivre sur les réseaux sociaux est la meilleure façon de se tenir informé de l’endroit où les visiter !
Petite maison pavillonnaire coincée au milieu des entrepôts commerciaux, je peux t’assurer que l’on a tourné un moment dans le haut du quartier de Barrière de Paris avant de la trouver, malgré le GPS !! Nous avons profité d’un week-end portes ouvertes pour y faire un saut rapide. Nous sommes les seuls visiteurs en ce dimanche soir. Un jeune homme aux cheveux frisés ébouriffés, au look décontracté, membre fort du collectif, nous fait la visite guidée. Il nous explique le squat de la maison, en accord avec le propriétaire. Ils ont l’autorisation de la transformer en « galerie d’art » mais en dédommagement, le collectif propose de l’entretenir en refaisant les peintures (ahaha, ça elles sont faites et refaites), la plomberie et l’électricité. D’ailleurs en plus des graffitis et autres pochoirs, tu pourras trouver un potager, une bibliothèque de troc et une friperie ! Tout se met doucement en place mais l’initiative est chouette !
Dans le magazine Clutch, j’en ai découvert un autre : Les enfants sauvages au 35 rue Jean Dagnaux (quartier des Ponts-Jumeaux). Je n’ai pas encore eu l’occasion d’aller l’admirer. Je t’en laisse la primeur ! Je suis plutôt sympa comme nana !
A côté de l’école de Saouzelong
Il y a un petit algeco des années 90 recouvert des graffs de Mondé et Reso. Tu peux te programmer un rapide crochet street-art lors de ton footing le long du canal pour aller voir les 2 œuvres géantes de Rose Béton dans le même quartier que ce petit bâtiment ! Pour moi, ce serait une pause respiratoire de survie, mais bon…
Dans la rue du pont de Tounis
Je lui accorde une sous-partie à lui tout seul car ce graff’ fait partie, à mon sens, des incontournables du street-art toulousain puisque son artiste fait partie des précurseurs. Si tu ne la connais pas encore, je te présente Miss Van. Ex-petite copine de Tilt, elle fait partie du célèbre Truskool crew. Si tu l’as connue dans les années 90, tu remarqueras que son style naïf représentant des personnages féminins aux formes généreuses a considérablement évolué pour devenir beaucoup plus fin. Personnellement, j’aime moins cette tendance « eyes wide shut » mais je reconnais que chaque œuvre est un travail d’orfèvre !
Dans le quartier Empalot
Empalot comptait plusieurs graffitis réalisés dans le cadre du festival Rose Béton mais plusieurs barres d’immeubles ont été détruites, emportant avec elles quelques fresques. Qu’à cela ne tienne, Ceet Fouad est venu graffer au printemps 2019 ses « chicanos« , ses petits poulets grassouillets multicolores.
Si l’artiste vit aujourd’hui en Chine, il n’en oublie pas pour autant ses racines toulousaines puisqu’il faisait partie du crew primitif de la Truskool et il revient régulièrement graffer à Toulouse comme j’ai pu le constater de visu peu de temps plus tard.
Cette fresque immense sur un pan entier de mur d’immeuble a été réalisée avec l’accord de la mairie de Toulouse : il s’agit d’un projet participatif où les habitants ont voté pour élire leur version préférée sur les réseaux sociaux ! Et vu que j’habitais le quartier voisin, j’ai voté aussi ! ^^
Petite précaution si tu es une fille seule : les regards peuvent être un peu pesants dans ce quartier et les mots un peu pressants. Je sais que c’est très rétrograde mais je te conseille d’aller voir ces œuvres en étant accompagnée, par sécurité.
A côté du Stadium, sous le pont Garigliano
Trois graffitis ont vu le jour pour l’Euro de foot de 2016 mais aussi dans le cadre du Festival Rose Béton. Mon préféré, c’est celui du dessous. Je te laisse aisément deviner pourquoi ? (hi hi)
Dans les petites rues toulousaines ici et là…
En marge de ces endroits, le street-art se fait plus discret et encore plus éphémère car la municipalité s’est dotée de peintures particulièrement couvrantes et rapides d’action ! De vrais Lucky Luke du rouleau effaceur ! Un mur à côté de notre résidence change par exemple toutes les deux semaines d’aspect !! Une guerre des boutons urbaine !
Morceaux choisis dans les rues de la ville rose :
Hors Ligne Concept : manger au milieu du street-art à Toulouse
Hors Ligne Concept est un nouveau lieu toulousain ouvert en 2019 et dédié à l’art urbain dans le quartier Saint-Cyprien. A l’intérieur, on trouve un concept store, une cantine ainsi qu’un espace d’exposition. Des concerts et des soirées à thème y sont régulièrement organisés pour que tu puisses t’inventer divinité du hip-hop ! Ou d’autres choses car tous les genres musicaux y sont vraiment mis à l’honneur.
MISE A JOUR 2021 : Ce lieu exceptionnel est à présent malheureusement FERME ! (Je laisse les photos pour le devoir de mémoire !) Par contre, il est à présent remplacé par la Villa Hors Ligne dans la rue du Taur, en hypercentre.
Des brunchs y sont organisés les midis des jours de week-end pour un tarif de 25€. J’ai testé, c’était simple et bon (le jus d’orange est frais) mais j’ai trouvé que le service était un peu long…
En tout cas, dépêche-toi de découvrir cet espace dès que possible car le concept n’est qu’éphémère et fermera ses portes fin 2020 ! Snif, je suis un peu triste car j’apprécie beaucoup cet endroit que je trouve totalement dans l’air du temps. On s’y sent bien.
Ces lieux du street-art toulousain que je souhaite découvrir prochainement
Le graffpark de la rue des anges aux Minimes, le secteur des Halles de la Machine. Il parait que ces endroits valent le détour !
… A suivre …
Le street-art à Ramonville, proche de Toulouse
Il faut mettre le cap sur le port de plaisance de Port Sud, le long du Canal du Midi. C’est un lieu bien agréable pour flâner le week-end en famille. On y trouve des jeux pour enfants à l’esprit urban-art, d’immenses espaces pour s’adonner aux plaisirs de la glisse urbaine, un bar, et puis bien sûr, des murs couverts de graffitis en toute légalité.
Ce jour-là, je frétillais de joie. Non seulement il faisait un temps magnifique mais en plus, qui ai-je vu en train de graffer ? Ceet Fouad en personne (je t’en parle plus haut dans le quartier Empalot) ! Les « chicanos » prenaient vie sous mes yeux où se reflétaient les couleurs vives des bombes. Émerveillement suprême pour moi, en bonne fan. J’ai déjà vu des dizaines de peintres en train de peindre mais pour les graffeurs, ça reste encore anecdotique, du fait qu’il s’agisse d’un art plutôt nocturne, en toute discrétion. J’en profite d’autant plus et un rapide coup d’œil circulaire m’informe que je ne suis pas la seule !
En périphérie proche dans les lieux abandonnés
Je connais principalement deux anciens entrepôts. Je n’en ai visité qu’un à ce jour et il faut que je trouve rapidement le moyen d’aller au second car il devrait être démoli lors de l’été 2017. Mais ces visites n’étant pas très très légales, même si l’on ne touche à rien, il vaut mieux être discret (très facile quand on est maladroit et que l’on trébuche sur ce qui fait le plus de bruit !) : ce sont des propriétés privées. Voilà pourquoi je ne te livre pas leur localisation exacte. Mais si tu es observateur, tu ne devrais pas mettre longtemps à les dénicher ! Courage, il suffit juste de lever les yeux de ton écran…
Et si tu me balances, n’oublie pas, vaudoo sur toi ! (na !)
Mise à jour de mars 2018
Ça y est !! On a enfin trouvé le vieil entrepôt toulousain qui est reconnu pour être une des places fortes du street-art dans la ville rose ! Il était temps car il est prévu qu’il soit démoli en avril 2018. Et quand tu vois de quoi il se compose, je te jure qu’il y a de quoi avoir le cœur serré par cette démolition ! Il y aurait un tel potentiel pour en faire une sorte de guinguette underground et alternative ! Même l’emplacement serait intéressant ! M’enfin, on n’a aucun pouvoir à ce niveau, à part celui de se rincer l’œil tant que c’est possible :
Mise à jour de juin 2018
Nouvelle exploration urbaine dans un lieu désaffecté dans le secteur toulousain ! Certains connaisseurs le reconnaîtront mais comme d’habitude, impossible de vous divulguer la situation géographique ici…
Une visite guidée dans l’univers du street-art organisée par l’Office de tourisme de Toulouse
Au printemps 2017, j’ai reçu un faire-part de naissance : le « petit » Graff’ Tour voyait le jour ! Comme de coutume, j’ai donc fait un cadeau de naissance : 15€ pour ma présence ! En fait, je ne sais pas vraiment si cette dernière est un cadeau, mais au moins les 15€ oui !
Cette visite est parfaitement pensée et vaut largement son prix :
- en plus d’une jeune guide dynamique et pleine d’humour (on y est les gens, fini les guides ultra sérieux et pompeux ne supportant pas le moindre bavardage ! Ouaiiiiiis ! ), tu rencontreras un graffeur toulousain repenti maîtrisant parfaitement son sujet pour apporter des informations complémentaires : Philippe alias Panks.
- si la visite commence en hyper-centre à pied, elle se poursuit dans les quartiers un peu plus éloignés en bus. Les petits petons et le dos sont à la fête !
- tu passes par les principaux sites dont je t’ai parlé dans ces deux articles du blog sans avoir à te préoccuper de quoi que ce soit si tu n’as pas trop le temps de te pencher sur la question.
Bref, j’ai testé pour toi et tu peux te lancer !
Mon conseil en tentant de ne pas spoiler : si tu viens en voiture, gare-toi en hyper-centre (Carmes, Esquirol, Capitole, Victor-Hugo, Jean Jaurès…) car la visite ne se termine pas à l’endroit où elle a commencé !
Tarif : 15€
Durée : 2h30 environ
Site internet
Le mot de la fin sur la localisation du street-art à Toulouse
Cet article n’a aucune prétention exhaustive, j’en découvre presque tous les jours ! D’ailleurs il n’est pas improbable que l’article se complète au fil de mes aventures photographiques et culturelles ! Je pars de rien depuis un an, je te rappelle…
Ouvre bien la pupille en allant faire tes courses ou tout simplement en te baladant globe-pisteur ! L’originalité peut aussi se cacher dans la monotonie, on t’a menti en te disant le contraire quand tu étais petit !
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28 Responses
Superbe article ! Ca me donne encore plus de venir à Toulouse 🙂
Il va falloir oui ! Et en plus je vais le mettre à jour dans la semaine car j’ai enfin découvert le 50 cinq hier !
Je réponds à ton appel de laisser un commentaire (n’hésite pas à faire de même, soutenons-nous mutuellement 🙂 ) pour te dire que je n’ai toujours pas réussi à me libérer pour assister à ce fichu Graff Tour qui me fait tant de l’oeil, argh!!!!! Mais j’y arriverai prochainement, il faut juste que l’été se passe, je suis trop prise. >_<
Sacré référencement en tout cas, bravo! Au plaisir de voir cet article s'étoffer. 🙂
Oui, oui, c’est prévu de laisser un commentaire chez toi mais je n’ai pas fini de lire l’article ! Je profite des vacances pour avancer ma rédaction, chose que j’ai rarement le temps de faire pendant le boulot, contrairement à la lecture !
Pour le Graff Tour, oui, il est vraiment chouette, une des meilleures visites de l’OT pour moi. Pour étoffer l’article, à voir, car ce que je trouve pour le moment n’est pas très légal ni officiel ! Mais je dois aller voir ce que j’ai noté pour les mois à venir…
Hello,
Je note tout ça pour un prochain séjour à toulouse on ne sais jamais
Il y a des spots vraiment canons.
XoXo
Oui, oui, note ! Tu vas en prendre plein les yeux et la carte SD ! Je sais qu’à Arnaud Bernard, ça a déjà changé par rapport à mon article car il y a eu le Latino Graff pendant que j’étais en voyage…
Si tu prends le tram entre les Zénith et cartoucherie il y a tout un tas de Graff
Oui, oui, j’ai vu (c’est le trajet de l’aéroport) mais je ne vous dis pas tout pour vous laisser la surprise de vos propres découvertes aussi !
Merci pour cet article de qualité!
Merci pour ce commentaire tout autant qualitatif !
une nouvelle adresse mur de plus de trente mètres, derrière le bâtiment blanc JOB à blagnac , faut descendre , rue ou avenue de blagnac, à voir absolument, photo ok
Merci de l’info ! On ira y faire un saut à l’occasion !
Bonjour : je suis un dessinateur de graffitis depuis un an je cherche une association ou club pour partager et ameliorer mes connaissances sur ce tipe de dessin…je lance mon email tlemtoul@.Hotmail.com .
Nous espérons que quelqu’un pourra vous répondre en lisant notre article !
Très bon article ! Du coup, ça me donne envie de partir à la recherche du Street Art à Toulouse. C’est parti … je commence cet aprèm.
Merci !
Super ! On est ravis de lire ça ! 😉
En espérant que la balade se soit bien déroulée ! 🙂
Je pensais me faire quelques balades streetart à Toulouse justement, ton article va bien m’aider !
Parfait, tu vas te régaler ! N’hésite pas à me faire un retour ! 🙂
Tu as un deuxième article sur les fresques de Rose Béton ici aussi : https://leboudumonde.com/2016/07/toulouse-festival-rose-beton-2016/
Il faut que je termine sa mise à jour mais ça donne déjà des idées supplémentaires. 😉
Merci pour cette visite très intéressante de Toulouse côté street art !
Merci beaucoup pour ce commentaire ! J’espère que ça servira !
Hello ! merci l’article est très intéressant.. Il y a également une superbe fresque au Sept Deniers en allant vers le Stade Toulousain (Ernest-Wallon).
Merci pour l’information ! Je me la note précieusement pour une prochaine fois où je passerai par Toulouse ! 😉
Salut De longues,douces et chaudes années vécues a TOULOUSE
Tant d’agréables Souvenirs que parfois la nuit J’Y SUIS
Aujourd’hui ,toutes ces années posées sur mes épaules me freine
un peu,mais me reste en Mémoire de nombreux Graffitis,place
dupuis » Le Viol est un Crime », arnaud bernard « pourquoi ce cul
vissé….La peur » Jardin des plantes » Court,court vite la sureté
de l’état est derrière toi » et St Michel » tapis d’Iran relevez vous »
Etc…J »étais a Toulouse de 78 a 92 . Une fresque me manque
Place pont neuf face a la rue des couteliers, angle lanternieres
et peyrolieres . » tu sais bien que le mieux que l’on puisse esperer
est d’eviter le pire » Cherche témoignage de cette fresque
Adiou Phil
Muchas gracias por compartir este artículo. No hablo bien francés, pero me ha servido para descubrir algunos de los mejores graffitis que hay en Toulouse. De hecho, he ido a fotografiar algunos mientras he recorrido la ciudad este fin de semana. Un saludo y enhorabuena por el post!
Muchas gracias a usted para haber tomado el tiempo para dejar esta opinion ! Me encanta que le resulto util ! 🙂 Hasta la proxima en nuestra zona !
cool!
Merci ! 😉